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Edilettre : la ligne éditoriale

 

 

Chers Ediliciens et chères Ediliciennes,

 

Lors de notre assemblée générale du dernier congrès à Thessalonique, nous avons décidé de lancer une revue « Edilettre » pour montrer le travail des membres du réseau, le faire connaitre et peut-être donner peut-être des envies de travail en commun. Pour se lancer dans le premier numéro, le comité a proposé la thématique des kamishibaïs plurilingues. 

Nous l’avons choisie car elle occupe et intéresse plusieurs équipes et membres de notre réseau et qu’elle s’est développée à la suite du congrès d’Edilic. Par ce numéro, qui sortira avant notre congrès à Copenhague, nous aimerions revenir sur cette formidable aventure.

 

Rappel de la thématique du premier numéro paru

Le kamishibaï est une pratique traditionnelle originaire du Japon et datant du 8ème siècle qui consiste à raconter une histoire à l'aide de planches illustrées placées dans un butaï (castelet en bois à trois portes). Il est appelé parfois « théâtre de papier », « théâtre ambulant », « théâtre d'images ».

Cette pratique est arrivée en Europe dans les années 70. Elle a rencontré du succès dans les milieux professionnels de l’enfance et de la petite enfance - crèches, écoles, bibliothèques, centres de loisirs. Elle est ainsi devenue un outil apprécié pour le travail de l’écoute, de la familiarisation à des histoires racontées ou lues à haute voix, mais aussi pour le travail d’illustration d’histoires.

Depuis quelques années, les approches plurielles se sont emparées de cette pratique et se sont lancées dans l’exploration de son potentiel. De nouveaux intérêts sont apparus et de nouveaux développements de cette pratique ont été mis en œuvre pour intégrer la pluralité des langues et viser des pratiques inclusives. Plusieurs pistes ont ainsi été explorées et sont encore en voie d’exploration. Ces pistes s’insèrent tout à fait dans le défi actuel de partir de l’hétérogénéité linguistique et culturelle du public pour légitimer cette pluralité tout en s’inscrivant dans une perspective du respect de l’altérité.

 

Les numéros d’Edilettre, nous aimerions faire un état des lieux de ce qui se fait dans notre réseau. Nous cherchons des contributions qui portent sur un ou plusieurs axes que voici :

  1. des événements ponctuels, tel le concours kamishibaïs plurilingues dans le cadre d'Edilettre 1 ;

  2. des activités en classe ;

  3. des exemples de la formation initiale et de formation continue ;

  4. des travaux de recherche.

 

Les textes attendus peuvent prendre plusieurs formes : bilans de recherche, compte-rendu d’expérience, interviews avec des acteurs et actrices du terrain ou des chercheur.e.s, analyse textuelle de production d’élèves, présentation de dispositifs. Comme il s’agit d’une publication en format numérique, des textes multimodaux peuvent être envisagés (entretiens, vidéos, podcast).

 

Nous vous proposons le calendrier suivant :

  • annonce et confirmation de la participation au numéro. Envoi d’un titre (même provisoire) et d’un résumé (50-100 mots) pour le 1er décembre à Carole-Anne.Deschoux@hepl.ch.

  • envoi du texte avec ses images pour une première expertise (janvier - février) 

  • travail de relecture et corrections (février - mars)

  • information et mise en ligne du numéro (mai - juin)

 

Nous vous rappelons les caractéristiques éditoriales et les précisions textuelles d’Edilettre (cf. ligne éditoriale, points 3 et 5.3 ; le document au complet est joint à l’appel à communication).

Caractéristiques éditoriales 

•   Les textes attendus ont un caractère informatif et sont compréhensibles par un public de non spécialistes.

•   Une relecture par des spécialistes du domaine garantit la qualité des textes.

•   L’inclusion d’éléments multimodaux (illustrations, photos, graphiques, vidéos, podcast, etc) est encouragée.

•   Les citations, les sources et les données de recherche respectent les standards scientifiques et éthiques.

•   Les langues de rédaction sont celles que mentionne l’article 3 des statuts d’Edilic. D’autres langues sont les bienvenues dans la mesure où le comité de rédaction dispose des ressources nécessaires pour expertiser les textes. Les expertises sont effectuées dans la langue d’écriture et dans une autre langue (par le biais d’une traduction), si nécessaire. L’auteur.e du texte veille à proposer un résumé en anglais ou en français.

Précisions textuelles 

  • Les articles sont courts. On vise 5-6 minutes de lecture à l’écran (max. 8'000 signes, espace compris).

  • Ils comportent des titres et des sous-titres (2 niveaux maximum).

  • Ils comportent des images qui doivent être libres de droit ou pour lesquelles on a obtenu les autorisations de publication.

  • Ils peuvent avoir des liens audios et vidéos.

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